Canadian Positive People Network (CPPN)
Réseau canadien des personnes séropositives (RCPS)
Le 7 juin 2021
Nous rendons hommage aux survivants à long terme du VIH
Rencontrez Mary
C’est son histoire.
Bonjour !
Mon nom est Marie. J’ai 55 ans et je suis toujours en vie. Je suis un survivant à longterme dusida. Quand j’ai étédiagnostiqué, il était au début des années 90. J’ai eu deux jeunes enfants et trois emplois. J’ai divorcé et une mère célibataire essayant de soutenir mes enfants. Je crois au mariage,mais pas mon mari. Je travaillais tout le temps pour soutenir mes enfants et leur donner une bonne maison.
Tout allait bien pendant quelques années jusqu’à ce que j’aie commencé à me sentir délecé et fatigué tout le temps. C’était plus que d’habitude, et je semblais avoir un rhume permanent qui ne voulait pas s’en aller. Jet est devenu de pire en pire. J’ai développé une température et une toux désagréable, mais kept de travail. Until,c’est-à-dire quand un jour je me suis réveillé avec 104 température et la toux de sang. Je me suis retrouvé avec une pneumonie et mis en quarantaine pendant deux semaines alors qu’ils ont couru une douzaine de tests.
La veille de l’entrée dans les résultats de mes tests, le médecin est entré et m’a dit que j’avais un cancer ou le sida, et il m’a laissé là. Je n’ai pas dormi du tout cette nuit-là. Le matin, on m’a diagnostiqué le sida soufflé complet et on m’a dit qu’il n’y avait pas grand-chose qu’ils pouvaient faire pour moi. Ils m’ont conseillé de mettre de l’ordre dans mes affaires et de passer le temps qu’il me restait avec mes enfants.
Mais ... ce n’était pas la partie la plus difficile. Le plus difficile a été d’avoir à attendre les résultats des tests de mes enfants, qui apris encore deux semaines. Leurs résultats sont revenus négatifs.
Quand j’ai été libéré de l’hôpital, j’ai commencé un régiment de médicaments expérimentaux. Til effets secondaires étaient tout simplement horrible. Je les ai pris pour les dix premières années , jusqu’àce qu’ils sont venus avec de nouveaux médicaments pour les femmes. Jeme suis un peu amélioré après ça.
Le temps, j’ai appris à vivre avec des nausées et d’être dé cours tout le temps. Mais maintenant que je vieillis, je peux vraiment sentir les effets à long terme du VIH. J’ai l’impression que mon corps a 90 ans et j’ai été exécuté par une voiture. Je souffre de graves de mobilité, et je souffre aussi d’ostéoporose sévère, nausées, maux de dos, et des maux de tête. Je ne peux pas manger ne peut pas dormir ; je n’ai pas d’énergie et je suis tellement fatigué tout le temps. Mais je pense que la pire chose à propos d’êtreunsurvivant à long terme est la douleur dans mon corps etla solitude. Vos enfants grandissent et aller de l’avant et vous êtes laissé par vous-même. C’est assez difficile de trouver quelqu’un à aimer sans être séropositif ... il est presque impossible de trouver quelqu’un qui est positif.
Donc, je vais continuer, la lutte contre le bon combat et l’espoir que rien ne tombe.
Merci d’avoir lu mon histoire. Continuez le bon combat.